Enchainer deux films des années 2000 avec Steven Seagal, telle était la mission dangereuse du préposé docteur à la chronique. Une mission risquée mais non dénuée d'intérêt pour l'amateur.
Commençons notre périlleux périple par le dantesque Mercenary for justice. Enfin dantesque, c'est vide dit. Point de nanar des familles, mais plutôt un gros navet pur jus (comme c'est souvent le cas chez l'ami Steven). Voici Steven chef d'un commando de mercenaires. En 2006 ? Qui peut y croire encore ? Autant dans Ultime décision (ou le seul film qui arrive à faire arracher des larmes à ses fans, Steven se sacrifiant au bout d'une trentaine de minutes), sa carrure athlétique faisait encore illusion, autant désormais, même son regard trahit sa nature bovine. Terrible. Ne pas s'étonner dès lors de le voir surtout jouer du fusil mitrailleur, sa majesté n'étant pas d'humeur à casser les membres inférieurs des méchants qui oseraient croiser son chemin. Le strict minimum syndical.
Commençons notre périlleux périple par le dantesque Mercenary for justice. Enfin dantesque, c'est vide dit. Point de nanar des familles, mais plutôt un gros navet pur jus (comme c'est souvent le cas chez l'ami Steven). Voici Steven chef d'un commando de mercenaires. En 2006 ? Qui peut y croire encore ? Autant dans Ultime décision (ou le seul film qui arrive à faire arracher des larmes à ses fans, Steven se sacrifiant au bout d'une trentaine de minutes), sa carrure athlétique faisait encore illusion, autant désormais, même son regard trahit sa nature bovine. Terrible. Ne pas s'étonner dès lors de le voir surtout jouer du fusil mitrailleur, sa majesté n'étant pas d'humeur à casser les membres inférieurs des méchants qui oseraient croiser son chemin. Le strict minimum syndical.