Huit années après les premiers méfaits de la fratrie Bradley, et une relecture hallucinogène nommée Brain Damage sortie en 1988, Frank Henenlotter revenait aux affaires en signant coup sur coup, en ce début de décennie 90, l'épisode 2 et 3 de son film culte Basket Case. Disponibles en DVD et Blu-Ray le 7 septembre prochain, le troisième volet étant inédit en France, ces deux séquelles toujours produites par Edgar Ievins, en association désormais avec James Glickenhaus, confortent l'esprit originel, tout en lorgnant cette fois-ci davantage vers la comédie trash.
La fin du premier Basket Case, et son épilogue doublement tragique, le meurtre et le viol de Sharon par Belial, et la supposée mort des deux frères par défenestration, laissaient peu de place, pensait-on, à une quelconque suite. Erreur. Rescapés de leur chute, les frères Bradley, reconnus coupables de leurs crimes, s'échappent et trouvent refuge chez « mamie Ruth » dont la maison est devenue l'asile de créatures difformes à l'image de Belial. Personnage secondaire, et néanmoins central, des deux nouveaux épisodes, interprété par Annie Ross, mamie Ruth est loin d'être une protectrice de freaks disciple de la non violence. Gare aux vilains qui souhaiteraient faire du mal à ses chers protégés : dans l'épisode deux, une journaliste (Judy Grafe), travaillant pour un tabloïd, et dans l'épisode trois, un shérif et ses adjoints alléchés par la prime d'un million de dollars pour la capture des frères Bradley, car mamie Ruth a désormais un bras armé et vengeur nommé Belial. Ça va saigner...
La fin du premier Basket Case, et son épilogue doublement tragique, le meurtre et le viol de Sharon par Belial, et la supposée mort des deux frères par défenestration, laissaient peu de place, pensait-on, à une quelconque suite. Erreur. Rescapés de leur chute, les frères Bradley, reconnus coupables de leurs crimes, s'échappent et trouvent refuge chez « mamie Ruth » dont la maison est devenue l'asile de créatures difformes à l'image de Belial. Personnage secondaire, et néanmoins central, des deux nouveaux épisodes, interprété par Annie Ross, mamie Ruth est loin d'être une protectrice de freaks disciple de la non violence. Gare aux vilains qui souhaiteraient faire du mal à ses chers protégés : dans l'épisode deux, une journaliste (Judy Grafe), travaillant pour un tabloïd, et dans l'épisode trois, un shérif et ses adjoints alléchés par la prime d'un million de dollars pour la capture des frères Bradley, car mamie Ruth a désormais un bras armé et vengeur nommé Belial. Ça va saigner...