En écho à ma précédente chronique musicale, le mois de mars aura confirmé, si besoin est, mon regain d'intérêt pour les nouveautés et dans le cas présent les sorties jazz. Et parmi les réjouissances de ce début d'année, soit après un Yesterday You Said Tomorrow sorti le mois précédent et annonciateur de bons augures, la Perfide Albion nous offre en la personne d'un de ses fidèles sujets, Sebastian Rochford et sa formation Polar Bear, un autre album de jazz des plus intéressants qui soit. Morbleu.
Preuve s'il en est en avant propos pour décrire une fois de plus la rouerie de nos voisins britanniques, la pochette du nouvel album du quintette. L'auditeur innocent, lecteur assidu du NME et autres magazines tendance, porte étendard de l'indie et héritier contemporain d'Arthur Pendragon à recherche du nouveau saint Graal musical hebdomadaire (1), risque d'être déçu dans le meilleur des cas en apprenant que cette pochette enfantine n'est en rien un appel à ses délicates oreilles avides de mélodie pop.
Preuve s'il en est en avant propos pour décrire une fois de plus la rouerie de nos voisins britanniques, la pochette du nouvel album du quintette. L'auditeur innocent, lecteur assidu du NME et autres magazines tendance, porte étendard de l'indie et héritier contemporain d'Arthur Pendragon à recherche du nouveau saint Graal musical hebdomadaire (1), risque d'être déçu dans le meilleur des cas en apprenant que cette pochette enfantine n'est en rien un appel à ses délicates oreilles avides de mélodie pop.