En voila un qui n’est pas connu du grand public mais qui mériterait une reconnaissance plus large : Teo Macero. Avant de produire les plus belles pages de la période Columbia de Miles (avec Gil Evans bien sûr), l’homme fut aussi sax tenor pour non des moindre mr Charles Mingus, déjà respect.
Donc à partir de 1957, Teo va produire pour la Columbia et pour Miles. Son talent ne peut être mis en cause pendant la période acoustique du Prince of darkness, mais quand justement Miles a décidé de brancher les amplis, on ne peut que s’incliner devant le talent du bonhomme. En effet, pour ceux qui ont pu entendre les sessions d’enregistrements de Miles à partir de 1969, ça ressemble énormément à de longs jams. Et justement tout le talent de Teo fut de monter ces enregistrements, pour leur rendre un aspect plus présentable. Surtout connaissant Miles, c’était le genre « on vient d’enregistrer 20h de musiques maintenant tu te démerdes… » et on comprend qu’il y a eu du taff en amont qaund on écoute les versions bruts et leurs versions définitives.
Comme quoi, Miles était un génie musical mais Teo a aussi sa part.
Comme extrait, un titre relativement court de cette dite période, sur son album le plus barré, funk et schizo, On the corner.
Donc à partir de 1957, Teo va produire pour la Columbia et pour Miles. Son talent ne peut être mis en cause pendant la période acoustique du Prince of darkness, mais quand justement Miles a décidé de brancher les amplis, on ne peut que s’incliner devant le talent du bonhomme. En effet, pour ceux qui ont pu entendre les sessions d’enregistrements de Miles à partir de 1969, ça ressemble énormément à de longs jams. Et justement tout le talent de Teo fut de monter ces enregistrements, pour leur rendre un aspect plus présentable. Surtout connaissant Miles, c’était le genre « on vient d’enregistrer 20h de musiques maintenant tu te démerdes… » et on comprend qu’il y a eu du taff en amont qaund on écoute les versions bruts et leurs versions définitives.
Comme quoi, Miles était un génie musical mais Teo a aussi sa part.
Comme extrait, un titre relativement court de cette dite période, sur son album le plus barré, funk et schizo, On the corner.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire