Ah bah tiens, y’avait longtemps que j’avais posté quelque chose concernant le death metal! Encore, me direz vous ! Oui, je l’avoue, j’ai un faible pour ce genre, au même titre que John Coltrane, le Velvet ou Guy Marchand, comme quoi c’est pas incompatible…
La maxime qui voudrait que l’on soit jeune et qu’on aime faire du bruit, s’est vue plus d’une fois confirmée. C’est ainsi qu’en 1989, le death metal made in Floride se développe de plus en plus et devient dès lors le style extrême dans le rock le plus prisé dans les milieux undergrounds. Oui mais il faut toujours se méfier de la vieille Europe, et celle ci va connaître deux scènes extrêmes importantes, l’une basée chez la perfide Albion et l’autre chez nos amis scandinaves.
En 1989, en Suède donc, (la Norvège étant le pays du black metal, mais ça c’est une autre histoire), naît parallèlement, à la future hégémonie US, le son SUDEOIS. Et ce qui parait encore plus étonnant c’est que tout cela est dû à une bande de gamins de 15-16 ans. Alors j’entends tout de suite les mauvais esprits, on voit bien que c’est une musique puérile, vu que le maître étalon est fait par une bande de morveux. Oui sauf que non.
Déjà, on est loin des lieux communs des groupes US. Ici les clichés, Satan est mon ami par exemple, ont très peu leur place. On garde le côté morbide mais le côté grand guignol en moins. Et puis il y a ce son si particulier, bien différent de celui dont je parlais y’a 15 jours. Un son épais mais surtout gras bien crade et les compos se veulent aussi plus complexes que celles de leur homologues yankees. C’est bien simple, après cet album, le studio Sunlight où fut enregistrer le 1er album d’Entombed servit de référence à toute une scène naissante. Et puis, pour des gamins de 16 ans, ils se la jouent quand même pas mal, des sacres zicos, et puis une voix comme ça, à cet âge là... pfff !
La maxime qui voudrait que l’on soit jeune et qu’on aime faire du bruit, s’est vue plus d’une fois confirmée. C’est ainsi qu’en 1989, le death metal made in Floride se développe de plus en plus et devient dès lors le style extrême dans le rock le plus prisé dans les milieux undergrounds. Oui mais il faut toujours se méfier de la vieille Europe, et celle ci va connaître deux scènes extrêmes importantes, l’une basée chez la perfide Albion et l’autre chez nos amis scandinaves.
En 1989, en Suède donc, (la Norvège étant le pays du black metal, mais ça c’est une autre histoire), naît parallèlement, à la future hégémonie US, le son SUDEOIS. Et ce qui parait encore plus étonnant c’est que tout cela est dû à une bande de gamins de 15-16 ans. Alors j’entends tout de suite les mauvais esprits, on voit bien que c’est une musique puérile, vu que le maître étalon est fait par une bande de morveux. Oui sauf que non.
Déjà, on est loin des lieux communs des groupes US. Ici les clichés, Satan est mon ami par exemple, ont très peu leur place. On garde le côté morbide mais le côté grand guignol en moins. Et puis il y a ce son si particulier, bien différent de celui dont je parlais y’a 15 jours. Un son épais mais surtout gras bien crade et les compos se veulent aussi plus complexes que celles de leur homologues yankees. C’est bien simple, après cet album, le studio Sunlight où fut enregistrer le 1er album d’Entombed servit de référence à toute une scène naissante. Et puis, pour des gamins de 16 ans, ils se la jouent quand même pas mal, des sacres zicos, et puis une voix comme ça, à cet âge là... pfff !
En un seul mot : SURPRENANT !!
RépondreSupprimerAbsolument énorme! Rien de plus rien de moins. C'est si effarant de jouer comme ça à 15/16 ans que beaucoup de musiciens devraient en prendre de la graine. Le Entombed d'aujourd'hui est bien différent, plus efficace mais moins complexe et sombre. Mais c'est aussi ce qui fait la magie des premiers Entombed, leur caractère unique!
RépondreSupprimerC'est quand même plus prenant qu'un Cannibal Corpse (et surtout bien plus crédible qu'un Chris Barnes!!).
Vlad
ah! le neanderthalien Chris...
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