Après les enregistrements de In A Silent Way et de Bitches Brew, la plupart des musiciens de Miles appartenant à son fameux second quintet on décidé de former leur propre formation. Ainsi le saxophoniste Wayne Shorter avec le nouveau venu Joe Zawinul sont à l’origine d’un des groupes de jazz fusion les plus célèbres des années 70, Weather Report.
Cela dit, entre deux enregistrements du combo, le souffleur décida de s’offrir une parenthèse en 1974 et d’enregistrer un album à consonance brésilienne, Native Dancer. Pour se faire, ce dernier fit appel à son ancien partenaire Herbie Hancock et aux chanteur et percussionniste brésiliens Milton Nascimento et Airto Moreira. Dès lors, on navigue dans une atmosphère très mélodique et lyrique, ce qui peut déplaire à certains (peut paraître un peu too much nous dirons par moment).
Cependant, l’extrait d’aujourd’hui est justement le moins sujet à controverse (surtout dans les seventies, où Herbie, Chick Corea ou Wayne Shorter se sont fait descendre pour avoir verser dans l’électricité) et accessoirement mon préféré de l’album. Le morceau Diana est dédié à la fille d’Airto Moreira et de Flora Purim (cf le post consacré à Chick Corea). Et comme j’ai en plus une version live du dit morceau, cadeau je vous la passe. A noter que la version en public fut enregistrée avec la formation du VSOP, à savoir le second quintet de Miles au complet mais avec Freddie Hubbard à la trompette (à cette époque, Miles il faut le rappeler avait disparu de la circulation, errant entre la dépression et la défonce).
Pour finir, comme hier, avec un tel titre j’aurais aussi pu écrire un petit quelque chose.
Sur un autre musicien qui joua avec Miles et qui incorpora des rythmes brésiliens et qui évidemment porte la moustache, George Duke (et en plus ça aurait fait un lien avec le post d’hier). Mais bon, à charge de revanche comme dit l’expression.
Cela dit, entre deux enregistrements du combo, le souffleur décida de s’offrir une parenthèse en 1974 et d’enregistrer un album à consonance brésilienne, Native Dancer. Pour se faire, ce dernier fit appel à son ancien partenaire Herbie Hancock et aux chanteur et percussionniste brésiliens Milton Nascimento et Airto Moreira. Dès lors, on navigue dans une atmosphère très mélodique et lyrique, ce qui peut déplaire à certains (peut paraître un peu too much nous dirons par moment).
Cependant, l’extrait d’aujourd’hui est justement le moins sujet à controverse (surtout dans les seventies, où Herbie, Chick Corea ou Wayne Shorter se sont fait descendre pour avoir verser dans l’électricité) et accessoirement mon préféré de l’album. Le morceau Diana est dédié à la fille d’Airto Moreira et de Flora Purim (cf le post consacré à Chick Corea). Et comme j’ai en plus une version live du dit morceau, cadeau je vous la passe. A noter que la version en public fut enregistrée avec la formation du VSOP, à savoir le second quintet de Miles au complet mais avec Freddie Hubbard à la trompette (à cette époque, Miles il faut le rappeler avait disparu de la circulation, errant entre la dépression et la défonce).
Pour finir, comme hier, avec un tel titre j’aurais aussi pu écrire un petit quelque chose.
Sur un autre musicien qui joua avec Miles et qui incorpora des rythmes brésiliens et qui évidemment porte la moustache, George Duke (et en plus ça aurait fait un lien avec le post d’hier). Mais bon, à charge de revanche comme dit l’expression.
Une note P.A.S.I.O.N.N.A.N.T.E chapeau bas. Il va falloir, que je me penche serieusement sur le cas George Duke !
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