Dans la série hommage, on termine comme pouvait le laisser supposer lundi, un album de Lou Reed, à savoir celui où il rend hommage à Andy Warhol. Pour mener à bien cette entreprise, Lou fait appel à son frère ennemi, John Cale ; nous voici donc avec la moitié du Velvet.
Il faut dire que la reformation du Velvet Underground à la fondation Cartier une année plus tôt annonçait déjà la fin des hostilités et des rancoeurs entre ses membres originels. Ce fut évidemment de courte durée (à cause de Lou, forcément…), le temps d’une première tournée européenne en 93, avec en point d’orgue un concert à l’Olympia. Il faut aussi rappeler que dans les années 60 grâce à leur escroc de manager, le Velvet ne mit jamais un pied sur le vieux continent, un comble puisque ce dernier aurait été attendu comme le messie. Enfin bon, Lou avec sa bonhomie habituelle ayant tout fait pour dézinguer cette reformation (querelle d’ego, étonnant non ?), la tournée US fut donc annulée.
Mais avant le retour des hostilités, en 90, sort donc Songs for Drella, Drella étant le pseudo de Warhol, une contraction de Dracula et Cinderella (Cendrillon). Alors pourquoi Lou décide d’enregistrer un album hommage à son ancien ami Andy ? Car il en a gros sur la patate, faut dire qu’avec son caractère de cochon et son melon (et je suis gentil en disant ça), le père Lou s’est désintéressé de Warhol, l’a viré comme un mal propre alors que ce dernier a produit le premier disque du Velvet et a fait finalement connaître le groupe.
Pour se racheter on a droit ainsi à une bio sonore, ma foi fort inspiré, où Lou Reed nous montre ainsi que l’inspiration est de nouveau de retour (faut dire après son chef d’œuvre New York on s’en doutait un peu). Anecdote intéressante, montrant que la hache n'est toujours pas enterrée, dans les interviews actuelles, Cale ne se cache pas pour cracher sur cet album, rancunier le père Cale…
Il faut dire que la reformation du Velvet Underground à la fondation Cartier une année plus tôt annonçait déjà la fin des hostilités et des rancoeurs entre ses membres originels. Ce fut évidemment de courte durée (à cause de Lou, forcément…), le temps d’une première tournée européenne en 93, avec en point d’orgue un concert à l’Olympia. Il faut aussi rappeler que dans les années 60 grâce à leur escroc de manager, le Velvet ne mit jamais un pied sur le vieux continent, un comble puisque ce dernier aurait été attendu comme le messie. Enfin bon, Lou avec sa bonhomie habituelle ayant tout fait pour dézinguer cette reformation (querelle d’ego, étonnant non ?), la tournée US fut donc annulée.
Mais avant le retour des hostilités, en 90, sort donc Songs for Drella, Drella étant le pseudo de Warhol, une contraction de Dracula et Cinderella (Cendrillon). Alors pourquoi Lou décide d’enregistrer un album hommage à son ancien ami Andy ? Car il en a gros sur la patate, faut dire qu’avec son caractère de cochon et son melon (et je suis gentil en disant ça), le père Lou s’est désintéressé de Warhol, l’a viré comme un mal propre alors que ce dernier a produit le premier disque du Velvet et a fait finalement connaître le groupe.
Pour se racheter on a droit ainsi à une bio sonore, ma foi fort inspiré, où Lou Reed nous montre ainsi que l’inspiration est de nouveau de retour (faut dire après son chef d’œuvre New York on s’en doutait un peu). Anecdote intéressante, montrant que la hache n'est toujours pas enterrée, dans les interviews actuelles, Cale ne se cache pas pour cracher sur cet album, rancunier le père Cale…
Grace à cet album, le Velvet Underground s’est reformé le temps d’une tournée européenne de 6 semaines.
RépondreSupprimerPS important : va voir ma dernière note.