Je note que comme hier, je ne poste pas de nouveauté, car j’avais déjà écrit un petit quelque chose concernant Fela ; cela dit, comme pour Lou, je pourrais très bien sortir un Fela mensuel, vu l’importance du bonhomme.
Aujourd’hui le morceau propose est issu d’une excellente compilation (oui de temps en temps ça existe, et ça ne rime pas forcement avec un vieux florilège moisi) sorti sur Barclay, The Two Sides of Fela: Jazz & Dance. Déjà premier point, la plupart des titres sont plus ou moins difficilement trouvables, d’ou l’intérêt de la dite compil. Et puis, le label a décidé de séparer comme son nom l’indique les deux versants de la musique de Fela. Choix qui pourrait paraître plus ou moins discutable et surtout vain car les cotés jazz et danse de Fela sont indissociables, mais bon... Mais ne crachons pas non plus dans la soupe, le choix reste judicieux et permet quand meme de se faire une idée pour le néophyte du talent de Fela.
Alors pour coller avec la thématique hebdo, on se doute déjà de quel cote j’ai choisi le morceau. Kalakuta provient en fait du quartier de Lagos (capital du Nigeria, je vous le rappelle) ou plutôt le fief de Fela nomme "Kalakuta Republic" (un nom pareil en pleine geinte militaire, ça fait un peu tache tout de même). Bref, on touche, et je l’ai déjà dit, a ce que l’on a fait de mieux en matière de musique (je pourrais dire africaine, mais ça serait vraiment réducteur), on retourne a la source même de la musique black populaire de cette fin de millénaire, un funk originel gorge de trance et de rythmique cuivrées endiablées.
Vous avez compris, moi Fela, j’adore.
Aujourd’hui le morceau propose est issu d’une excellente compilation (oui de temps en temps ça existe, et ça ne rime pas forcement avec un vieux florilège moisi) sorti sur Barclay, The Two Sides of Fela: Jazz & Dance. Déjà premier point, la plupart des titres sont plus ou moins difficilement trouvables, d’ou l’intérêt de la dite compil. Et puis, le label a décidé de séparer comme son nom l’indique les deux versants de la musique de Fela. Choix qui pourrait paraître plus ou moins discutable et surtout vain car les cotés jazz et danse de Fela sont indissociables, mais bon... Mais ne crachons pas non plus dans la soupe, le choix reste judicieux et permet quand meme de se faire une idée pour le néophyte du talent de Fela.
Alors pour coller avec la thématique hebdo, on se doute déjà de quel cote j’ai choisi le morceau. Kalakuta provient en fait du quartier de Lagos (capital du Nigeria, je vous le rappelle) ou plutôt le fief de Fela nomme "Kalakuta Republic" (un nom pareil en pleine geinte militaire, ça fait un peu tache tout de même). Bref, on touche, et je l’ai déjà dit, a ce que l’on a fait de mieux en matière de musique (je pourrais dire africaine, mais ça serait vraiment réducteur), on retourne a la source même de la musique black populaire de cette fin de millénaire, un funk originel gorge de trance et de rythmique cuivrées endiablées.
Vous avez compris, moi Fela, j’adore.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire