Petite question qui n’attend pas de réponse, et pourquoi les junkies psychopathes n’auraient ils pas droit de danser eux-aussi ? Oui car mardi, j’ai passe de la musique qui passe en club (enfin surtout en UK) très guillerette mais faut savoir qu’a l’origine, y’a une bande de frappes qui ont pondu l’âme sombre de cette musique.
Depuis le temps, je commence a radoter, mais le New-York des années 70 fut quand même un sacre laboratoire. Et parmi ceux qui réussirent a réinventer le rock (Television par exemple) d’autres ouvrir d’autre porte, comme nos deux lascars Alan Vega et Martin Rev.
Alors le groupe se forme au début de la décennie, avec comme particularité un chanteur et un synthétiseur (enfin quelque chose qui y ressemble, on est encore dans les 70’s). Ce qui est aussi étonnant c’est la dualité du combo. Alan chante a la manière rockabilly des 50’s, puis des que les boucles oppressives de Rev se mettent en place, la face cachée apparaît, sombre, torturée. Et c’est justement la force du duo, a la fois avoir influence des groupes pop des 80’s comme Soft Cell, mais aussi le cote noir de la musique electro-rock que donnera par exemple Revolting Cocks. A chaque fois, on navigue donc entre les deux, et puis comment aussi ne pas retenir l’un des morceaux les plus cultes des 70’s Frankie Teardrop, morceau a mettre a fond, et qui fera plaisir aux voisins en particulier quand le père Vega poussent ses gueulantes, 10 minutes de bonheur (enfin le propos reste cauchemardesque quand même).
Cela dit je parle du premier album de Suicide, mais je vais proposer un titre qui ne sortira que sur leur deuxième album... Oui mais je préfère passer deux versions live, l’une de ‘77, au fameux et maintenant ferme CBGB’s et une autre lors des nombreuses reformations épisodiques du combo datant de ’98. N’empêche, quand on écoute la première version live et qu’on pense à la date, trente ans! Respect !!!
Depuis le temps, je commence a radoter, mais le New-York des années 70 fut quand même un sacre laboratoire. Et parmi ceux qui réussirent a réinventer le rock (Television par exemple) d’autres ouvrir d’autre porte, comme nos deux lascars Alan Vega et Martin Rev.
Alors le groupe se forme au début de la décennie, avec comme particularité un chanteur et un synthétiseur (enfin quelque chose qui y ressemble, on est encore dans les 70’s). Ce qui est aussi étonnant c’est la dualité du combo. Alan chante a la manière rockabilly des 50’s, puis des que les boucles oppressives de Rev se mettent en place, la face cachée apparaît, sombre, torturée. Et c’est justement la force du duo, a la fois avoir influence des groupes pop des 80’s comme Soft Cell, mais aussi le cote noir de la musique electro-rock que donnera par exemple Revolting Cocks. A chaque fois, on navigue donc entre les deux, et puis comment aussi ne pas retenir l’un des morceaux les plus cultes des 70’s Frankie Teardrop, morceau a mettre a fond, et qui fera plaisir aux voisins en particulier quand le père Vega poussent ses gueulantes, 10 minutes de bonheur (enfin le propos reste cauchemardesque quand même).
Cela dit je parle du premier album de Suicide, mais je vais proposer un titre qui ne sortira que sur leur deuxième album... Oui mais je préfère passer deux versions live, l’une de ‘77, au fameux et maintenant ferme CBGB’s et une autre lors des nombreuses reformations épisodiques du combo datant de ’98. N’empêche, quand on écoute la première version live et qu’on pense à la date, trente ans! Respect !!!
Tu savais qu'Alan Vega, est l'unes des références musicales de Maurice Dantec ? Personnelllement j'adore son titre : " Jukebox Baby ", l'unique tube solo de Vega (en France, du moins) lol.
RépondreSupprimereuh non savait pas.
RépondreSupprimermais bon, Dantec et moi, ca fait deux.
Vega a aussi énormement influencé Christophe en France, en tout cas je suis dingue de leurs premiers opus, de même que les 2 premiers LP de Vega d'ailleurs !
RépondreSupprimerun groupe génial même si les Silver Apples avaient un peu préparé le terrain à la fin des années 70...
Que Vega ait influencé Christophe, je peux le comprendre avec son style de crooner décalé, en marge.
RépondreSupprimerIl a d'ailleurs chanté sur un album de Christophe : Bevilacqua je crois...
RépondreSupprimerSinon par rapport aux Silver Apples, je voulais évidemment "fin des années 60" ! honte sur moi ! :)
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