Un peu de polémique cette semaine, ça nous fera le plus grand bien. Donc, cette fois-ci, la subjectivité est de mise (enfin plus qu’à l’accoutumée), et la thématique hebdomadaire va s’articuler autour du refrain préféré de la grand-mère à moustache, « Oooooh, c’était mieux avant ! ».
Alors j’avais pensé au début à Rage against the machine, car pour moi, à part le premier album, le reste ne vaut pas tripette. Mais il s’est posé un problème au niveau de ma cdthèque, j’avais un bootleg de ’92 avec un très bon son, mais pas moyen de mettre la main dessus, j’ai sans doute oublié de faire une copie sur mon disque dur avant de partir pour HK, donc il me fallait trouver un autre groupe.
Bon le choix fut relativement rapide, et si je parlais du groupe de Oakland, Machine Head ? Bon eux, il aura fallu attendre non pas le deuxième mais le troisième album pour être déçu la tournure des choses. En 1995, les petits gars nous pondent un des albums metals incontournables de la décennie, à savoir Burn my Eyes. En effet, la bande à Rob Flynn (ex-Violence, groupe culte de thrash début 90’s) arrive à insuffler un peu de nouveauté, un metal moderne carré à la croisière entre la hargne thrash et la rugosité du hardcore, bref aujourd’hui l’album n’a pris une ride et reste un classique des 90’s. Deux années passent, et sort enfin le successeur, The more things change. Premier point, l’album fut longtemps attendu car retardé, le label batave Roadrunner força le groupe à revoir sa copie en matière de mixage. Bon et alors cet album ? Bah il est pas mal du tout, certes l’effet de surprise est passé, mais même si ça reste un cran en dessous du premier, l’album tient la dragée haute. Cela dit, il a quand même un défaut à mes yeux, sa production. Les compos sont suffisamment bonnes et je vois pas l’intérêt qu’ils ont eu à faire une prod gonflée aux hormones, j’irais même jusqu’à dire qu’il est surproduit. Mais comme j’ai dit plus haut, ça n’entache en rien la qualité du bestiau, mais on peut voir tout de même la future orientation du groupe. En effet, le côté hardcore, qui justement était cher à mes oreilles se dissipe de plus en plus, au profit d’un son énorme qui bouffe tout, et ça vous rappelle rien ? Une musique de djeuns, … bah vi le nu-metal.
Et justement, à partir du troisième album, le groupe plonge carrément là dedans, et perd l’originalité qui était la sienne. Forcément, c’est pas un tel virage qui fera baisser les ventes d’albums, au contraire…
Mais, le nouvel album qui devrait sortir prochainement serait l’album du retour, pas un retour au source, pas un Burn my eyes 2.0, non mais disons un retour à l’inspiration. En tout cas, il parait… A noter tout de même que pour le prochain skeud, la pochette rappelle plutôt celle d’un album de black metal. Donc comme dis l’adage, wait & see…
Alors j’avais pensé au début à Rage against the machine, car pour moi, à part le premier album, le reste ne vaut pas tripette. Mais il s’est posé un problème au niveau de ma cdthèque, j’avais un bootleg de ’92 avec un très bon son, mais pas moyen de mettre la main dessus, j’ai sans doute oublié de faire une copie sur mon disque dur avant de partir pour HK, donc il me fallait trouver un autre groupe.
Bon le choix fut relativement rapide, et si je parlais du groupe de Oakland, Machine Head ? Bon eux, il aura fallu attendre non pas le deuxième mais le troisième album pour être déçu la tournure des choses. En 1995, les petits gars nous pondent un des albums metals incontournables de la décennie, à savoir Burn my Eyes. En effet, la bande à Rob Flynn (ex-Violence, groupe culte de thrash début 90’s) arrive à insuffler un peu de nouveauté, un metal moderne carré à la croisière entre la hargne thrash et la rugosité du hardcore, bref aujourd’hui l’album n’a pris une ride et reste un classique des 90’s. Deux années passent, et sort enfin le successeur, The more things change. Premier point, l’album fut longtemps attendu car retardé, le label batave Roadrunner força le groupe à revoir sa copie en matière de mixage. Bon et alors cet album ? Bah il est pas mal du tout, certes l’effet de surprise est passé, mais même si ça reste un cran en dessous du premier, l’album tient la dragée haute. Cela dit, il a quand même un défaut à mes yeux, sa production. Les compos sont suffisamment bonnes et je vois pas l’intérêt qu’ils ont eu à faire une prod gonflée aux hormones, j’irais même jusqu’à dire qu’il est surproduit. Mais comme j’ai dit plus haut, ça n’entache en rien la qualité du bestiau, mais on peut voir tout de même la future orientation du groupe. En effet, le côté hardcore, qui justement était cher à mes oreilles se dissipe de plus en plus, au profit d’un son énorme qui bouffe tout, et ça vous rappelle rien ? Une musique de djeuns, … bah vi le nu-metal.
Et justement, à partir du troisième album, le groupe plonge carrément là dedans, et perd l’originalité qui était la sienne. Forcément, c’est pas un tel virage qui fera baisser les ventes d’albums, au contraire…
Mais, le nouvel album qui devrait sortir prochainement serait l’album du retour, pas un retour au source, pas un Burn my eyes 2.0, non mais disons un retour à l’inspiration. En tout cas, il parait… A noter tout de même que pour le prochain skeud, la pochette rappelle plutôt celle d’un album de black metal. Donc comme dis l’adage, wait & see…
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