Il est toujours difficile d'entamer la première chronique d'un réalisateur dont vous suivez pas à pas la filmographie depuis seulement quelques mois. Un cinéaste sinon réhabilité (n'exagérons pas), dont une partie de l'œuvre 70's s'est vu tout du moins rééditée (par Le Chat qui Fume) offrant au public nostalgique un nouveau visage à Jean-Marie Pallardy. Très longtemps cantonné comme l'un des réalisateurs du mètre-étalon nanar, grâce ou à cause du célèbre White Fire (1984), l'ancien mannequin se lança rapidement au début de la décennie 70's dans la réalisation de films érotiques, laissant libre court à ses envies paillardes, emboîtant le pas à la libéralisation sexuelle... ou comment mêler l'utile à l'agréable.
Paul (Jean-Marie Pallardy) est photographe de mode. Un travail riche et exaltant, mais ces derniers temps la qualité de son travail est proche de la déliquescence. L'homme est ailleurs, prendre en photo les plus belles femmes du monde, dans les rues de la plus belle ville du monde, ne suffit plus à son bonheur. "De la merde [...], tu te concentres pas sur ton boulot, reconnais le" ajoutera son patron (Bernard Musson) dans un élan de sincérité poignante quoiqu'un peu paternaliste. A sa décharge, Paul a découvert, il y a peu, que sa femme s'adonnait au plaisir de la partouze. Les repères de notre photographe über-class tendent dès lors à vaciller dangereusement, lui qui se livrait corps et âme à son beau métier, trouvant le réconfort et l'inspiration nécessaire dans les bras des jeunes top-models qui croisaient sa route... et son objectif.
Paul (Jean-Marie Pallardy) est photographe de mode. Un travail riche et exaltant, mais ces derniers temps la qualité de son travail est proche de la déliquescence. L'homme est ailleurs, prendre en photo les plus belles femmes du monde, dans les rues de la plus belle ville du monde, ne suffit plus à son bonheur. "De la merde [...], tu te concentres pas sur ton boulot, reconnais le" ajoutera son patron (Bernard Musson) dans un élan de sincérité poignante quoiqu'un peu paternaliste. A sa décharge, Paul a découvert, il y a peu, que sa femme s'adonnait au plaisir de la partouze. Les repères de notre photographe über-class tendent dès lors à vaciller dangereusement, lui qui se livrait corps et âme à son beau métier, trouvant le réconfort et l'inspiration nécessaire dans les bras des jeunes top-models qui croisaient sa route... et son objectif.