Un petit point avant de commencer à raconter mes salades (oui j’ai pas oublié les propos outranciers d’un certain monsieur Reuh, t’ar ta gueule toi en mai…).
J’avais déjà en tête cette thématique depuis quelques temps, mais comme ça tombait la semaine du 14 février, eh oh, machoman, j’allais pas jouer dans la catégorie fleur bleue, pour entendre après « oh la fille, oh la fille ! », ouais…désolé… Puis avec ce que j’ai choisi comme chansons, on ne risque pas de verser non plus dans la mièvrerie, pas de chansons sucrées, donc les sentimentalo-diabétiques pourront passer aussi leur chemin.
La dernière fois je m’étais lancé dans une comparaison subjective entre Layne Staley et le cocaïnomane souffrant de l’estomac; cette fois ci, un petit rappel historique du groupe Alice in Chains.
Pour commencer, je radote mais pas sûr que ceux qui lisent cette note étaient déjà là le 20 octobre alors bon… Parce que ça me les bouffe un peu de lire que la scène de Seattle est considéré comme grunge. Si mouvement grunge il y a eu, celui-ci ne concerne que Nirvana et ses imitateurs (par exemple les anglais Bush), mais pas Alice ou Soundgarden (je cite pas Pearl Jam, j’ai pas envie de tirer sur une ambulance), voilà c’est dit.
Certes comme les groupes nommés plus haut, Alice fut formé fin 80’s biberonné par le rock noisy de cette décennie et celui des 70’s (Bowie, Led Zep, Neil Young…). Mais à la différence des autres autochtones, la principale influence du groupe de Layne fut Black Sabbath, on retrouve en effet la même lourdeur, le même coté poisseux, suffocant. Et puis rapport à la chanson d’aujourd’hui, Alice in Chains a toujours été doué pour écrire des ritournelles ayant pour thème la tension, celle dû à l’addiction (de son chanteur) pour les paradis artificiels, mais aussi celle entre les rapports humains (« comme quand vous êtes coincés dans un espace exigu »… merci Jean-Claude D. pour cette précision).
En 1990 sort donc leur premier album Facelift un an avant la déferlante Nevermind. Même si l’album ne représente qu’une ébauche du style Alice in Chains, le groupe réussira à faire parler de lui, puisque Facelift sera certifié album de platine, aidé il est vrai par MTV et le vidéo-clip de Man in the box.
Dès lors, avec le Louder Than Love de Soundgarden, la scène de Seattle sort désormais de l’ombre et est prête à casser la baraque.
J’avais déjà en tête cette thématique depuis quelques temps, mais comme ça tombait la semaine du 14 février, eh oh, machoman, j’allais pas jouer dans la catégorie fleur bleue, pour entendre après « oh la fille, oh la fille ! », ouais…désolé… Puis avec ce que j’ai choisi comme chansons, on ne risque pas de verser non plus dans la mièvrerie, pas de chansons sucrées, donc les sentimentalo-diabétiques pourront passer aussi leur chemin.
La dernière fois je m’étais lancé dans une comparaison subjective entre Layne Staley et le cocaïnomane souffrant de l’estomac; cette fois ci, un petit rappel historique du groupe Alice in Chains.
Pour commencer, je radote mais pas sûr que ceux qui lisent cette note étaient déjà là le 20 octobre alors bon… Parce que ça me les bouffe un peu de lire que la scène de Seattle est considéré comme grunge. Si mouvement grunge il y a eu, celui-ci ne concerne que Nirvana et ses imitateurs (par exemple les anglais Bush), mais pas Alice ou Soundgarden (je cite pas Pearl Jam, j’ai pas envie de tirer sur une ambulance), voilà c’est dit.
Certes comme les groupes nommés plus haut, Alice fut formé fin 80’s biberonné par le rock noisy de cette décennie et celui des 70’s (Bowie, Led Zep, Neil Young…). Mais à la différence des autres autochtones, la principale influence du groupe de Layne fut Black Sabbath, on retrouve en effet la même lourdeur, le même coté poisseux, suffocant. Et puis rapport à la chanson d’aujourd’hui, Alice in Chains a toujours été doué pour écrire des ritournelles ayant pour thème la tension, celle dû à l’addiction (de son chanteur) pour les paradis artificiels, mais aussi celle entre les rapports humains (« comme quand vous êtes coincés dans un espace exigu »… merci Jean-Claude D. pour cette précision).
En 1990 sort donc leur premier album Facelift un an avant la déferlante Nevermind. Même si l’album ne représente qu’une ébauche du style Alice in Chains, le groupe réussira à faire parler de lui, puisque Facelift sera certifié album de platine, aidé il est vrai par MTV et le vidéo-clip de Man in the box.
Dès lors, avec le Louder Than Love de Soundgarden, la scène de Seattle sort désormais de l’ombre et est prête à casser la baraque.
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