Bam bam bam bam… ici Hong-Kong… avant dernier post avant un dodo plus ou moins mérité…
En me penchant sur le cas Reznor, il y a une sortie disque qui par contre m’a tout à fait comblé, c’est le Live at Massey Hall datant de 1971 de monsieur Neil Young. Au passage, je note que c’est mon premier post consacré au loner, pour quelqu’un qui a 15 albums du bonhomme, j’ai pris mon temps, lol…
Depuis l’année dernière Neil nous sort en effet quelques témoignages live de son glorieux passé (en attendant la sortie d’un futur coffret qui devrait aussi faire très mal). A vrai dire le précédent live at the Fillmore East ne m’intéressait pas car j’avais déjà cet enregistrement en bootleg avec un son très convenable, alors bon, j’avais moyennement sauté au plafond en voyant la sortie de la chose.
Sauf que cette fois ci, le loner a décidé de nous proposer un concert où le canadien n’est pas accompagné par les fidèles du Crazy Horse, mais au contraire seul, avec sa guitare et son piano. A vrai dire, c’est justement quand Neil est en solo que je le préfère, on touche vraiment à la grâce. Et puis, l’enregistrement du concert est aussi à noter au combien intéressant au niveau de la date. En 1971, nous nous situons en effet entre les cultissimes After the goldrush et Harvest, bref c’est du tout bon !
En 1971, Neil fait donc quelques dates en solo, ce qui change un peu de la tournée la même année qu’il fait avec Crosby, Still & Nash (on retrouvera les performances des quatre gars sur le live 4 way street). En concert, Neil nous livre ainsi quelques inédits qui figureront entre autre sur le prochain Harvest. A vrai dire, j’aime Harvest (mais ce n'est pas non plus le disque ultime du loner comme je lis souvent), mais j’ai toujours trouvé la production de David Briggs limite (sauf pour les morceaux électriques de l’album). Le pompon est sans doute atteint avec les versions symphoniques de There’s a world et de A man needs a maid, certes ça s’écoute bien, mais quand on a découvert les versions dépouillées et intimistes, la pilule a franchement du mal à passer après…
Donc à défaut de vous passer un extrait de ce formidable disque (en vous conseillant l’achat du disque accompagné du DVD, car Neil s’est pas foutu de notre gueule, on a à faire à un vrai DVD, avec de vrais bonus, quelque chose de véritablement réfléchi, bref on sent que le loner respecte ses admirateurs, mais qui s’en étonne en fait ?) ; je vous passe un morceau datant de la même année mais pour la BBC, on y perds pas au change croyez moi, c’est de l’ambroisie, et puis c’est une version qu’on ne retrouve pas dans le commerce, alors c’est relativement rare donc…
En me penchant sur le cas Reznor, il y a une sortie disque qui par contre m’a tout à fait comblé, c’est le Live at Massey Hall datant de 1971 de monsieur Neil Young. Au passage, je note que c’est mon premier post consacré au loner, pour quelqu’un qui a 15 albums du bonhomme, j’ai pris mon temps, lol…
Depuis l’année dernière Neil nous sort en effet quelques témoignages live de son glorieux passé (en attendant la sortie d’un futur coffret qui devrait aussi faire très mal). A vrai dire le précédent live at the Fillmore East ne m’intéressait pas car j’avais déjà cet enregistrement en bootleg avec un son très convenable, alors bon, j’avais moyennement sauté au plafond en voyant la sortie de la chose.
Sauf que cette fois ci, le loner a décidé de nous proposer un concert où le canadien n’est pas accompagné par les fidèles du Crazy Horse, mais au contraire seul, avec sa guitare et son piano. A vrai dire, c’est justement quand Neil est en solo que je le préfère, on touche vraiment à la grâce. Et puis, l’enregistrement du concert est aussi à noter au combien intéressant au niveau de la date. En 1971, nous nous situons en effet entre les cultissimes After the goldrush et Harvest, bref c’est du tout bon !
En 1971, Neil fait donc quelques dates en solo, ce qui change un peu de la tournée la même année qu’il fait avec Crosby, Still & Nash (on retrouvera les performances des quatre gars sur le live 4 way street). En concert, Neil nous livre ainsi quelques inédits qui figureront entre autre sur le prochain Harvest. A vrai dire, j’aime Harvest (mais ce n'est pas non plus le disque ultime du loner comme je lis souvent), mais j’ai toujours trouvé la production de David Briggs limite (sauf pour les morceaux électriques de l’album). Le pompon est sans doute atteint avec les versions symphoniques de There’s a world et de A man needs a maid, certes ça s’écoute bien, mais quand on a découvert les versions dépouillées et intimistes, la pilule a franchement du mal à passer après…
Donc à défaut de vous passer un extrait de ce formidable disque (en vous conseillant l’achat du disque accompagné du DVD, car Neil s’est pas foutu de notre gueule, on a à faire à un vrai DVD, avec de vrais bonus, quelque chose de véritablement réfléchi, bref on sent que le loner respecte ses admirateurs, mais qui s’en étonne en fait ?) ; je vous passe un morceau datant de la même année mais pour la BBC, on y perds pas au change croyez moi, c’est de l’ambroisie, et puis c’est une version qu’on ne retrouve pas dans le commerce, alors c’est relativement rare donc…